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Je m’appelle Caroline. Je suis conseillère consultante en Ayurvéda. Éternelle étudiante, j’ai mis plusieurs années à trouver mon chemin. D’abord en Lettres Modernes à la Sorbonne puis en Histoire de l’art et Archéologie à l’Université de Besançon, l’Ayurvéda est venu progressivement à moi, mais comme une évidence. 

Depuis très jeune, j’ai été confrontée à la maladie, autour de moi. J’ai pris conscience assez tôt du rôle important que jouent l’alimentation, l’hygiène de vie mais aussi la psychologie dans la santé et le bien être. Dès la vingtaine, je me documente tous les jours sur les alternatives qui s’offrent à nous, j’ai besoin de quelque chose de différent, pour faire la différence. Je suis persuadée qu’il y a autre chose, j’ai soif de connaissance et de nouveautés, jusqu’à parfois aller dans l’extrême et rêver d’une alimentation excessivement parfaite, du moins ce que je pense l’être.

Et puis un jour, je suis touchée par la maladie à mon tour. « Syndrome anxio-dépressif » avec des crises insoutenables et un séjour de deux mois en clinique psy. Avec le recul, je me dis que c’est cet épisode qui a finit de me sensibiliser à la psychothérapie. C’est en luttant de toutes mes forces contre mon état qu’un jour un livre arrive dans mes mains… et ne les quitte plus. Un livre sur les secrets de l’ayurvéda. Je connaissais déjà cette médecine traditionnelle depuis mon adolescence, je l’utilisais en beauté des cheveux. Elle me suivait déjà depuis des années. Je passe mes journées à le lire et le relire, comme un texte sacré, une révélation, tout y fait sens pour moi. A ce moment-là, je sais que j’étudierai l’ayurvéda.

Après trois années de formation à Ayurvéda et Consciences, les enseignements de Joyce Villaume-Le Don entrent en résonance avec tous les aspects de ma vie. Une claque. Je me rends compte que derrière mes angoisses et ma dépression se cachait un mode de vie déséquilibré et que sous un manque d’énergie et des douleurs digestives et menstruelles résidaient des blocages psychiques. L’ayurvéda m’a également appris que la perfection n’existe pas et que je ne dois pas chercher à l’atteindre à tout prix, et que les extrêmes ne sont jamais bons. Que chaque individu est différent et qu’il n’existe pas qu’un seul mode de vie idéal.

Aujourd’hui, j’ai à cœur de transmettre ce message. Je reviens de loin car la vie m’a montré le chemin pour prendre soin de moi et aussi comment le montrer à l’autre.

Ma pratique est orientée vers l'écoute